
Lorsqu'on parle de Donjons & Dragons au cinéma, on pense bien entendu à l'énormissime nanard de 2000 avec ses effets spéciaux et costumes ringards ou encore son grand méchant ridicule à souhait (Jeremy Irons est à mourir de rire).
Se lancer dans un nouveau projet est donc une opération particulièrement risquée. Au moins ne peut-on pas accuser les producteurs d'essayer d'exploiter une licence juteuse et facile à rentabiliser. ;oD
Ca commence mal sur le papier car le spectre de Profion n'est pas loin quand on découvre Hugh Grant...
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