Série - Love, Death + Robots - Saison 4 (1/5)

Et c'est reparti pour une une dizaine de nouvelles animations pour l'anthologie Love, Death + Robots de Netflix.

Sans surprise, cette quatrième saison souffre toujours des mêmes forces et faiblesses des saisons précédentes avec des épisodes à l'intérêt très variable. Sauf que je trouve qu'ici on nous propose beaucoup plus de faiblesses que de forces, aucune épisode n'arrivant vraiment à convaincre.

Oh il y a quelques concepts intéressants comme l'irruption d'un démon dans un bombardier américain de la seconde guerre mondiale (en mode Hellboy) ou encore les états d'âme de tout un tas d'objets connectés. Mais à chaque fois c'est mal exploité et cela laisse le spectateur frustré.

Le pire est que techniquement c'est souvent plutôt pas mal du tout avec certains partis pris esthétiques très réussis mais à chaque fois le scénario donne cette impression de n'être pas tout à fait abouti (même pour du très court métrage)...

Si je devais malgré tout désigner un ou deux épisodes un peu meilleurs que les autres je citerais Mini Rencontre du Troisième Type où l'on peut voir un premier contact extraterrestre dégénérer en guerre des mondes, le tout en mode ultra rapide et miniature, ou encore le Chat de Saint Luc mettant en scène la lutte d'un chat pour sauver l'âme de son humain de compagnie convoitée par satan.

Du point de vue ludique, pas grand chose non plus à se mettre sous la dent... :o/

Pour rappel, mon avis sur les saisons 1 et 2 et sur la saison 3.

Une rencontre du troisième type qui dégénère en mode accéléré et miniature

Esthétique léchée pour scénario minimaliste...

Mauvaise surprise pour cet équipage d'un bombardier américain pendant la seconde Guerre Mondiale

Comments

[Jérôme]

Rien à sauver sans cette cuvée 2025 : pas un seul épisode ne sort visuellement du lot et le niveau des scénarios est franchement médiocre. Si les saisons précédentes avaient offert quelques épisodes sympas en termes de style graphique ou d’histoires (la civilisation dans le frigo reste mon préféré), cette année est globalement à oublier.